oui je l'ai vu déjà cette ruche. Laure m'y a guidé.Ses détenteurs ont mes coordonnées. elle mérite d'être choyée par qq'1 de formé à ça. Je le suis mais je ne le ferai pas pour rien.Je suis en cours d'installation, pour vivre à 70% du miel de tilleul de picardie. Je ne suis pas de ceux qui se calent sur le discours des médias (les ruches vont mal en plaine et vont mieux en ville). Je travaille en plaine et vallée de l'Oise, mes 110 ruches vont très bien. Je les conduis en bio avec des pratiques de notre temps. Voilà mon discours (un peu atypique): les abeilles sont un outil puissant de développement et de réinsertion, il n'y a pas de surexploitation possible de la ressource, les abeilles sont avides de travail (plus que l'humain) mais ont besoin d'un administrateur humain (l'apiculteur) pour affronter la rudesse de l'environnement dans lequel elles évoluent. Sans apiculteurs formés et dépendants des produits de la ruche, l'abeille va pérécliter: les amateurs n'ont pas les outils techniques, financiers, et surtout le temps disponible, nécessaires pour sauver leurs ruches-passion. Contrairement aux autres élevage (vaches, moutons, volailles, et j'en passe) qui entrent dans notre chaîne alimentaire, il n'existe pas d'abus possible des abeilles (en tout cas dans les limites que je me suis fixées). Je suis ouvert à laisser à des artistes explorer l'apiculture (mes ruches, mes pratiques), il y a un domaine presque vierge à explorer sur ce plan, et ce même si le rapport humain-abeille perdure depuis 6000 ans au moins. un petit lien diagonal: http://www.lesventileuses.com/merci pour ça à Sylvère Petit, fils d'apiculteur pro, un monsieur qui se fait des films! (un puissant outil de communication (ce qui manquait à l'apiculture jusque là)). A+JB